Certains pays ont eu moins d’attentions et de temps de préparation que d’autres… la Géorgie notamment. On savait qu’on y passerait peu de temps. Et honnêtement il avait sa place sur l’itinéraire à cause des frontières fermées entre Arménie et Turquie. J’ai lu le guide au dernier moment et du coup on a découvert les richesses de ce pays et les nombreux attraits touristiques quasiment en passant la frontière. Et finalement rien ne vaut les surprises, surtout quand elles sont bonnes ! On vous raconte.
Arrivée en Géorgie
Record battu pour un passage de frontières : moins d’une heure pour passer d’Arménie en Géorgie. Agréable surprise de fin de journée après notre remontée de l’Arménie depuis Erevan. Le douanier est fort sympathique. C’est bête mais notre premier contact en entrant dans un pays est toujours celui du douanier et ces échanges restent en mémoire. Souriant, et accueillant, nous avons droit à des welcome et des grands sourires. Changement radical avec les regards un peu méfiants des arméniens.
Nous dormirons ce jour-là au pied d’un monastère. De religion orthodoxe, les géorgiens paraissent très pratiquants. Nombreux à l’office du dimanche, nous entrons dans une nouvelle religion. Les mariages se font par série de 2, 3 ou 4 couples ! Les baptêmes s’enchaînent. Nos visites d’églises sont animées. Les pop sont les nouvelles figures de l’église locale. Avec leurs longs cheveux noués, leurs longues barbes grisonnantes et leurs longues robes noires, ils nous impressionnent. Ils incarnent respect et sagesse. Souriants, le regard doux, ils nous saluent poliment. Les églises sont ornées de peintures qui les rendent moins austères qu’en Arménie. Leur beauté est colorée. J’aime les couleurs. L’absence de tons vifs me chiffonne. Les peintures intriguent les filles. Elles ont l’air de trouver incongru ces peintures à même les murs. Pourvu que cela ne leur donne pas de nouvelles idées de bêtises à l’intérieur du camion !
Tbilissi, charmante capitale
Tbilissi, la capitale, nous rapproche le temps d’une journée à déambuler dans le centre, de l’Europe. Je m’explique. Des réseaux wifi à chaque coin de rue. Des parcs avec des aires de jeux, des espaces aménagés pour se promener le long des quais, des rues piétonnes animées, des galeries commerciales et… un Mac Donald. Pardon pour cette parenthèse fast-foodienne et simple vulgaire reflet de la société de consommation… mais c’est tellement bon ce petit goût de comme à la maison ! Les filles ont dévoré. Les parents ont carrément baffré leurs big mac. Bref, revenons à nos moutons.
Tbilissi est une bien jolie capitale. Tout a bien commencé car nous nous sommes garés à deux pas du marché aux puces. Ce marché vit le jour, comme beaucoup d’autres à la chute de l’URSS, quand les Géorgiens se sont soudain retrouvés sans rien. Les gens détenant quelques objets de valeur vinrent ici pour les vendre. Livres anciens, mobilier, vaisselle, médailles, casquettes de l’armée soviétique, portraits de Lénine : tout ce qui pouvait se vendre et aider les familles à sortir de la misère était installé sur les stands. Aujourd’hui, le marché s’est professionnalisé mais beaucoup liquident encore leurs effets personnels et leurs souvenirs de famille. Un stand d’appareils photo attire particulièrement l’oeil de Baptiste. Mais nous restons raisonnables.
En entrant dans un nouveau pays, on plonge dans son histoire. On lit les pages historiques du guide qu’on a laissé de côté auparavant car on a été au plus urgent pour préparer les visites et garder en tête les sites incontournables. L’histoire prend bien plus de sens et d’intérêt quand on foule le sol du pays concerné. Tous ces pays d’Asie centrale traversés nous sont maintenant bien moins méconnus sur le plan géographique évidemment mais aussi sur le plan historique et politique. Nous tendrons davantage l’oreille à notre retour quant les informations concerneront les pays de notre parcours. Les noms des villes sonnent comme familiers et l’intérêt porté est bien plus grand et plus fort. On y était. On connaît ces rues, ces vues. Les images nous touchent. Les évènements nous intriguent. La Géorgie, honnêtement, un peu comme l’Arménie, on les plaçait pas bien sur une carte avant le départ. Comme bon nombre de pays traversés en même temps. On avait en tête un petit pays. Les mots Caucase, plaines et montagnes lui allaient bien. Historiquement c’était un peu le néant. On avance doucement. On vient ainsi d’apprendre que Staline était né et a vécu en Géorgie.
On ferme les volets
Quand on pose le camion pour la nuit, après avoir trouvé un terrain bien plat et tranquille, on a vraiment le sentiment d’être chez nous. On ferme les rideaux et on se coupe du monde, du pays, de la ville, et des gens. On oublie le décor, on oublierait presque le voyage. La maison se déroule et défilent successivement les activités et les jeux des filles, le temps de la douche, la préparation du repas, le dîner tous les quatre, l’histoire, le brossage de dents, le coucher des filles et la soirée des grands avec écriture, lecture, cinéma, et repos peut commencer ! Comme à la maison mais dans un espace unique retransformé à souhait. On est tellement bien calés dans nos habitudes et notre organisation de l’espace qu’il va presque falloir se réhabituer après ? Ça devrait aller…
Mtskhéta et environs
Ancienne capitale de Géorgie, Mtskhéta est une belle ville, bien que légèrement aseptisée. Une ville presque trop parfaite. De nombreux travaux et aménagements ont lissé les rues, les maisons, et réduit la ville à des déambulations de touristes. La cathédrale de Svétitskhovéli en est la cause principale. Très beau bâtiment que nous avons visité au coucher du soleil puis au petit matin en dormant à deux pas. Enfermée derrière des remparts, la cathédrale restaurée affiche nombre de peintures à l’intérieur. Lieu prisé pour les mariages, les géorgiens semblent apprécier le lieu sacré non loin de leur capitale. Habité par des pop, le lieu est calme. Les filles attirent rapidement l’attention avec leur joie de vivre habituelle. Pourquoi avons-nous toujours l’impression de détourner le regard des visiteurs en entrant dans un lieu ?
Le monastère de Djvari, admirablement situé, offre une vue imprenable sur la vallée et la suite de notre route. Après un pique-nique terminé à la hâte à cause de chiens errants (nombreux en Géorgie) nous filons vers Gori.
J’ai mal à mon camion
J’oublie à chaque post d’en toucher deux mots. Baptiste a lié une relation, comment dire… fusionnelle, obsessionnelle (?) avec son camion. Disons notre camion. Si bien que le moindre bruit devient suspect. Il faut baisser le son de la musique ou plus dur baisser le volume sonore de Jeanne et Louise. Et inspecter ce bruit. En général, c’est une porte mal fermée, un placard ouvert ou un livre tombé. Notre bon vieux Mercedes assure et de mon côté j’ai l’impression naïve que rien ne peut lui arriver. Quand je dis j’ai mal à mon camion, il faut voir les grimaces de Baptiste quand notre camion est contraint de faire des bonds sur la route. Baptiste a mal pour lui. Je vous assure. C’était la rubrique taquine. Ah oui, j’oubliais les tours d’inspection du camion, les petits coucous au réservoir d’huile, les vérifications en tous genres. C’est facile de se moquer, n’empêche que ce n’est pas grâce à moi que notre camion est en super forme ! Je ne m’en soucie point du tout, vous aurez compris.
Répartition des tâches
J’ai donc opté pour d’autres rôles que celui du mécano. Bloggeuse, photographe, vidéaste. Oui j’écris, je ne vous apprends rien, je me suis déjà longuement étalé sur le sujet. Mais je prends aussi beaucoup de photos. Ce n’est pas parce qu’on a un mari photographe qu’on ne peut pas s’offrir quelques clichés et développer le goût de l’oeil dans le viseur à la recherche du meilleur angle, des plus belles lumières, des plus beaux souvenirs posés sur une image numérique puis papier. Filmer est une autre paire de manches. Je filme un peu sur la route. Quelques scènes de vies mais je trouve difficile de capter l’instant. Le son me semble toujours surfait. Inutile et gâchant la beauté des images en mouvement. Une vidéo prend sens par le mouvement qu’elle souligne. Le son apparaît souvent faux et encombrant. J’aime faire des montages (c’est en cours, c’est sacrément long) et j’aimerai en mettre en ligne mais les connexions sont souvent lentes et terriblement aléatoires. Je gère aussi les courses, la gestion du frigo, des placards et des menus. On fait au mieux pour varier. Les filles s’adaptent. Je leur ai promis plein de séances de cuisine au retour, seule ou avec elles, pour combler certains manques culinaires accumulés pendant nos errances familiales. J’aime toujours cuisiner. Sur mes deux petites plaques au fond du camion. Devant ma fenêtre ouverte sur le monde. On fait simple. On a appris à se faire plaisir avec peu. Un apéro avec une bière locale, du vin arménien ou géorgien ou au contraire une petite bouteille de martini acheté après la sortie de l’Iran. Une pâtisserie ou un feuilleté local. Un goûter gourmand. Le quatre heures est devenu un repas à part entière pas moyen de le supprimer pour les adultes retombés en enfance le temps d’un bout de pain avec du chocolat ou pour un paquet de biscuits secs. On a toujours en stock des bonbons, des sucettes. Aidant à un nouveau départ en camion ou un petit moment de flottement pendant un trajet. Et parfois, nous devons l’avouer, nous optons pour un cinquième. Un cinquième repas autrement dit. Des envies subites de chocolat ou de sucreries. Je gère aussi la gestion des vêtements des filles. Le choix est réduit mais n’empêche pas les colères du matin et les bouderies liées à la forme, la couleur, l’étiquette qui gratte ou que sais-je encore !
Et je m’occupe, un de mes plus grands plaisirs honnêtement, des sessions d’école. Mais Baptiste joue aussi l’instit de temps à autre. C’est amusant de le voir reproduire mes sempiternelles questions à Jeanne sur les syllabes, les lettres, les sons, les chiffres et autres. Jeanne progresse en concentration, ce qui n’est pourtant pas son point fort ! Son écriture est plus fluide. Elle cherche à déchiffrer quelques mots courts ou syllabes. Elle a le souci de bien faire. Je m’arrête là j’ai l’impression de remplir son livret scolaire… ! Louise est carrément prête pour le chemin de l’école. Les couleurs n’ont plus de secrets pour elle. Elle passe de longs moments à dessiner, colorier. Un peu sur ses mains, beaucoup sur papier.
Je dévore les guides touristiques au fil des pays. Là non plus je ne me force pas. Je savoure ces lectures qui donnent des envies, des images, des récits, des détails. J’annote, je surlonge, je corne des pages. Je visualise le meilleur itinéraire. J’enregistre les noms des villes, des régions, des sites à visiter.
Baptiste, rassurez-vous, s’occupe du reste. De beaucoup donc. Le camion évidemment. Rien que la conduite… j’ai un peu honte de ne jamais prendre le volant, mais Baptiste aime conduire, je vous promets ! Les pleins d’essence et les pleins d’eau, c’est lui aussi. Et tous les petits détails qui améliorent le camion dans l’espace intérieur et extérieur du camion. Les comptes, la gestion de l’argent dans chaque pays c’est encore lui. Les passages de frontière, côté administratif, il gère. Je garde le côté « comment occuper ses enfants en attendant des heures ? » Baptiste gère aussi la partie sécurité. Fermer les portes le soir, la nuit. Vérifier que l’étrange bruit entendu n’est pas un animal ou une mauvaise rencontre qui rôde. Je me suis rarement proposée, bizarrement ! Baptiste photographie évidemment beaucoup. Le polaroïde met sur papier les lieux-coups de coeur du périple. Collés précieusement dans un petit cahier moleskine au fur et à mesure, ils racontent en images notre avancée. Un album photo au fil des mois. Baptiste est également le roi du wifi. Pas un réseau ne lui échappe ! Toujours à l’affût, il nous connecte au monde et aux autres. L’informatique et la technologie c’est franchement pas mon truc. Baptiste gère.
Lessive et vaisselle sont à tour de rôle. Toutes ces répartitions furent naturelles. Je caricature un peu avec mes rubriques très séparées mais sachez que nous faisons aussi et surtout beaucoup à deux. Étant constamment ensembles, nous nous posons toujours les questions à deux, prenons les décisions à deux. Nous avons besoin de l’avis de l’autre pour avancer. Notre couple, déjà fusionnel depuis le début de notre histoire, et davantage encore après notre tour du monde, ne va pas aller en s’améliorant ! Et la gestion de Jeanne et Louise, une partie centrale de notre temps… se fait à deux évidemment ! Et heureusement.
Gori
Avant Gori, un passage au village d’Ouplistsikhé, ne nous fera pas regretter ce léger détour. Un village troglodyte magnifique. Par une belle après-midi ensoleillée, escalader ces montagnes perforées par la nature et la roche enchante toute la famille. Jeanne s’éclate à dévaler et gravir les rochers. Louise tente de la suivre mais glisse à plusieurs reprises. Baptiste et moi mitraillons le site pour immortaliser ce beau moment et le mystère de cette nature environnante. C’est un avant-goût de la Cappadoce, à petite échelle. Les vaches nous suivent dans ce drôle de décor. Ce sont nos seules rencontres.
Gori, la ville natale de Staline, permet la visite du musée qui lui est entièrement consacrée. Sa maison natale, le wagon le menant à Postdam et Yalta, et des photos, des documents, des statues. Le musée est glacial (au sens propre, un peu au figuré) et laisse un sentiment étrange. Le manque d’explications fournies pour légender les documents limite l’intérêt. Sa maison natale jouxte le musée. Jeanne semble s’intéresser définitivement à tout. Ça sonne bizarre de l’entendre dire « C’est la maman de Staline ou la femme de Staline sur la photo ? » C’est un peu comme un musée sur Hitler finalement. Il y a quelques années les autorités ont enlevé une statue de Staline qui trônait sur la place principale mais à l’improviste, en barrant l’accès à la population, visiblement très fière et très attachée à son héros local.
De Gori à Kaïtoussi, nous avons roulé plus de 100 kms ce qui n’était pas arrivé depuis longtemps. Fatigue générale. Conducteur et passagers doivent se réhabituer. Notamment pour la traversée de la Turquie où les distances vont redevenir conséquentes. Istanbul est d’ailleurs signalé sur les panneaux à plus de 1700 kms. Autour de Kaïtoussi, deux monastères (les der des der cette fois) valent le détour selon guides et blogs consacrés. Bien vu. Le premier, celui de Motsaméta vaut par son emplacement. Aperçu de loin sur la route, il fait le beau au fond de la vallée. Encore un baptême. Nous n’avons pas visité d’églises vides, c’est bien plus vivant et aide à entrevoir la pratique de la religion orthodoxe. Le deuxième, celui de Guélati, est en pleine restauration mais les échafaudages n’entravent pas la beauté des fresques murales. Jeanne, revêtue de sa robe de princesse, se croit dans son château et joue au bal ! Louise suit sa grande soeur (règle de base pour la cadette) et élargit ses marques d’ intérêt pour nos visites de jour en jour. Elle apprécie et le communique. Jeanne, son plaisir de découvertes, jamais assouvi, réclame encore et toujours des balades, des visites. Elles en veulent nos petites baroudeuses. Quel bonheur !
Mer Noire
La revoilà ! Quittée il y a plus de trois mois en Turquie, nous longeons à nouveau cette belle étendue bleue. Un jardin botanique gigantesque, le cap vert, nous permet de stopper le camion qui a avalé beaucoup de bitume ce jour-là. Ballade à pied à travers des jardins japonais, himalayens, mexicains, asiatiques et autres. L’endroit est sublime. On marche beaucoup, les filles sont à plat. Pas mieux pour les parents. Batumi marque notre dernière halte et notre dernière soirée en Géorgie. C’était court (à peine 5 jours) mais intense. Notre approche du pays a permis de varier les plaisirs.
Batumi est une drôle de cité balnéaire. Je n’ai jamais mis les pieds à Las Vegas, mais je présume que le parallèle n’est pas totalement incongru. Des lumières vives sur les façades. Des tours futuristes et démesurées. Arrivés de nuit, nous sommes portés par ces rayons lumineux qui créent une atmosphère de casinos, de paillettes et de luxe. L’intérêt de longer la mer à nouveau est notamment que rien ne vaut un port ou un bord de plage pour stationner notre maison.
Pays contrasté entre modernité des grandes villes et vie à la campagne au ralenti. Entre Asie et Europe. Entre mer et montagne. Avec des influences venues de Perse, de Turquie, et de Grèce. C’est un drôle de carrefour ce petit pays. On l’a aimé. Malgré une traversée rapide, nous avons pu admirer les charmes d’une capitale cosmopolite, observer les fresques médiévales, les églises perchées dans des sites impossibles. Déguster des vins fruités et des mets riches. Et traverser différents paysages pour rejoindre la Turquie.
La Turquie, on connaît, on aime, on va élargir notre connaissance de ce beau pays si hospitalier.
« Toi t’es toujours pressée alors qu’il faut prendre son temps dans la vie. » Jeanne, allant à l’essentiel.
« C’est joli les montagnes. C’est beau les peintures dans l’église. » Louise, guide touristique.
20614 kms parcourus depuis le départ.
4 mois de voyage.
13 pays traversés. 17 avec les doublons.
On vous embrasse. Vous nous manquez.
Continuez vos doux commentaires, on les guette.
À très vite.
Ju Ba Ja Lou
C’est toujours un plaisir de vous suivre!!! On pense fort à vous !! Bon retour en Turquie!!! Bises
Merci et bon anniv en retard à Paul et sa maman. Bisous
La Lecture de votre nouveau post pendant la pause du dimanche soir me permet de m’évader en bonne compagnie. Grace à vous, la petite Géorgie va devenir une destination prisée… au moins parmi vos lecteurs assidus,
Pour compléter la liste de vos rôles, j’embrasse mes globe-trotteurs, globe-croqueurs, globe-blogueurs, carnettistes, camping-caristes, baroudeurs, explorateurs, voyageurs qui vont ailleurs & vers autrui, sans oublier les princesses qui sont cette fois-ci casse-cou et adeptes de la varappe …
Maé
Merci pour ta présence et ta correspondance précieuse. Bisous maman
Il semble qu’en dehors des paysages et monuments superbes ,il y a aussi d’excellentes barbes à papa …. On vous envie de pouvoir (et vouloir) visiter tous ces pays …et merci de nous les faire partager !.
A bientôt
Merci fidèles lecteurs. Pouvoir voyager n’est pas donné à tout le monde et ça dure un temps malheureusement mais vouloir c’est pas prêt de s’arrêter!! Bises
Un petit coucou breton,
Merci pour ces dernières nouvelles et ce partage.
On se régale , on vous lit , on vous suit.
Profitez encore et encore de tout, de vous .
Des bises,
Hélène, François et Rose
Cool ces news ! Beaucoup d’émotion à imaginer Jaja et Loulou de plus en plus baroudeuses, et quelques questions…
Est ce que vous toucherez une com’ pour chaque pays visité grâce à votre blog qui donne envie de voyager ?
Est ce que les filles ont repeint l’intérieur du camion finalement ?!
Est ce q le bigmac géorgien était aussi « bon » que le français ?
Est ce que Jeanne et Louise arrivent à prononcer Mtskhéta ? (moi non!) et Svétitskhovéli ?
Est ce qu’on peut parler des petits coucous au réservoir d’huile de Baba ?
Qui fait les carreaux ?
Quel est le repas qui vous manque le plus ?
Est ce que Jaja et Loulou sont au courant que quand je vais les revoir je vais les couvrir de bisous ?
Et enfin, est ce que la Géorgie a un rapport avec Georges Clooney ?
Continuez de nous emmener avec vous comme vous le faites, merci on adore !
De gros bisous à vous 4
salut julie, salut baptiste,
on voit que tout va bien pour vous, la belle vie! c’est cool , on est contents pour vous,
à très vite aurélie gros gros bisous
on a comparé votre visite avec celle dans la Death Valley , léo avait lui aussi fait du toboggan!!
Est-ce que cela veut dire que l’on va pouvoir chambrer Baptiste à son retour sur sa relation si particulière avec votre camion, ou doit-on dire SON camion ?
Grosses bises à tous les 4,
Violaine
Faudra pas se gêner !! Bisous à vous 4
moment toujours très agréable de venir partager votre voyage en vous lisant et en admirant les photos, des paysages, des églises, mosquées ou autres lieux religieux et celles des filles toujours souriantes ….Pas de photo de plats cuisinés ? pourtant toujours alléchants… On vous embrasse tous les 4 bien affectueusement, Marie-Cécile et Cie
Merci les cousins! On a pourtant bien mangé en Géorgie. Bises
Coucou les nomades,
Une petite dose de jubajalou quand t’as une petite baisse de régime et ca repart !!!
Vous avez réussi a nous donner envie de visiter la Géorgie ^^
Et pourtant j’aurai jamais cru:-)
On a hâté de trinquer à votre retour meme si evidemment pour vous ca sera mos drole
On vous embrasse
On a acheté du vin géorgien, on garde la bouteille pour trinquer ensemble alors ! bisous au chef, à la femme du cher et à la fille du chef.
Un grand merci pour votre carte postale..
Nous sommes nombreuses à la crèche à suivre vos aventures .. et nous parlons encore de Louise avec ses copains de l’année dernière ( Aylin et Lennie surtout).
Ce sera un grand plaisir de vous retrouver en 2015.
Isabelle